Il ne se passe pratiquement pas un jour sans que la presse régionale ne parle de la journée du Souvenir Vendéen à Vertou et Saint-Sébastien, le 14 février 2015. L’article de jeudi dernier, dans l’édition nantaise de Ouest-France, mettait à l’honneur l’artiste peintre Diana Taupin, auteur de la grande fresque inaugurée à Saint-Sébastien-sur-Loire. 

Diana TaupinDiana Taupin, artiste peintre d'origine argentine
(artiste de Ouest-France, édition de Nantes-Vignoble, jeudi 26 février 2015)
  

Diana Taubin a étudié l’architecture à l’université de Buenos Aires, de 1975 à 1981. En 2002, elle quitte l’Argentine, avec son mari, architecte, et son fils, pour Barcelone. Elle se spécialise dans la peinture murale et dans le trompe-l’œil.

Elle raconte son « rêve de travailler en France ». Un souhait qui se réalise en novembre 2012, lorsque le maire de Saint-Sébastien lui propose de réaliser un portrait du général Cambronne, sur le mur de la Tullaye. « Malgré la pluie et le froid, elle a pu être réalisée et inaugurée le 5 décembre 2012 », se souvient-elle.

Depuis, entre 2012 et 2014, elle a réalisé « les fresques pour le souvenir et l’avenir » pour la ville. La fresque, présentée le 14 février, au manoir de la Grande-Jaunaie, intitulée 17 février 1975, signature du traité de paix de la Jaunaye, est sa 10e réalisation. Elle sera installée, dans les prochaines semaines, sur l’aile ouest de l’hôtel de ville. « C’est le résultat d’un travail d’équipe avec les Amis de Saint-Sébastien, les personnels des ateliers municipaux. Cette fresque a été réalisée en un mois, en y travaillant tous les jours. Pendant un mois, j’ai vécu avec mes personnages. Maintenant, je dois les quitter pour retrouver ma famille, à Barcelone. Je reviendrai peut-être en mars, pour une autre réalisation historique, sur le thème des Castors. »

Contact : Murales, Ilusión Óptima. Tél. 0034 665 088 023. Diana Taubin travaille aussi pour des particuliers ou entreprises privées.
  


Et quand je disais qu’il ne se passe pratiquement pas un jour sans que la presse régionale ne parle de la journée du Souvenir Vendéen, aujourd’hui ce sont les deux éditions angevines de Ouest-France (Angers et Cholet) qui s’en font l’écho :

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