
Pour faire le lien avec ma carte de vœux de la nouvelle année, voici la rue Barillon à Aizenay. Cette commune de l’ouest vendéen possède également une curieuse impasse Charles Bonchamps.
Il n’y a donc, a priori, que deux rues vendéennes à Aizenay. On aurait pu espérer y croiser Charette, ou même Pierre Trichet, « commandant des révoltés de la commune » en 1793 (1)… mais non.
On trouve donc à l’ouest de la ville, perdue dans un lotissement au bord de la route de Maché, une rue Barillon, du nom de Paul...
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