
« Et qu'on ne s'y trompe pas : les intrépides habitants du Bocage du Loroux qui, seuls, abandonnés à leurs propres forces, ont eu, dès le commencement de la guerre, tant d'avantages décisifs, ne devaient pas agir isolément, si le plan de leurs chefs avait eu son entière exécution… Le Bocage et le Loroux forment le pays qu'on doit appeler Vendée puisque c'est celui où la guerre a été constamment la plus vive et la plus sanglante… Leur adresse dans l'usage des armes à feu est telle qu'aucun peuple connu, si guerrier, si manœuvrier qu'il...
[Lire la suite]